Mes lecteurs me demandent souvent en dédicace comment je peux écrire des livres aussi sombres (mais quand même plein d'espoir !) comme Juste Puni ou Au-delà des tours, quand on voit mon enthousiasme et mon sourire. Je dois l’avouer, chez moi les soleils sont aussi radieux que les orages sont violents.
Je ne suis pas du tout psychologue, mais je suis une experte en déprime. Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis retrouvée au fond du trou et à me demander comment j’allais bien pouvoir en ressortir. Et sachez-le tout de suite : on en ressort, mais pour cela, il faut avoir les bons réflexes et de ne pas trop se laisser aller (ma Brenda).
Que vous ressentiez en ce moment un petit coup de mou (ou un gros) ou que vous soyez habitudé à ces moments difficules, j’ai décidé d'écrire cet article pour vous aider à sortir la tête hors de l’eau et à retrouver un sens à votre quotidien. Je vous invite aussi chaudement à lire les partages dans les commentaires, aussi pleines de sources d'inspirations.
Le challenge est le suivant :
Quand vous commencez à ne plus avoir envie de vous lever, de vous habiller, quand vous commencez à traîner des savates toute la journée, à vous sentir à fleur de peau… alors il est temps de prendre les choses en main !
Mais vous vous en doutez, le propre de la déprime c’est qu’elle est difficile à repérer et quand elle nous a attrapés, c’est comme des sables mouvants : pour en sortir c’est un peu comme une lutte sans fin que l’on n’a même pas envie d’entreprendre.
5 PISTES POUR ARRÊTER DE DÉPRIMER
Je partage avec vous 5 idées - ou choses auxquelles faire attention - tirées de mon vécu personnel qui vont vous permettre de garder le moral ou de le retrouver si c’est déjà trop tard.
Le plus important c’est qu’au moment d’appliquer cette liste, vous ne vous demandiez pas si ça vaut le coup, vous le faites, et vous appréciez ensuite le résultat !
1. Rester social et éviter l’ours mal léché
Quand on est déprimé, on a tendance à se replier sur soi-même. D’une part, on n’a plus envie de parler aux gens, on se sent même parfois honteux de se sentir si mal alors que nous avons a priori tout ce qu'il faut pour avoir une belle vie... ou que nos amis - eux - vont bien ! On se dit que si on parle à quelqu’un de ce que l'on ressent, on va vraiment se faire envoyer bouler avec notre air de chien battu...
Alors, on finit dans notre coin à se morfondre et quand on est obligé d’être face aux autres, on fait comme si tout allait bien. Tout ça ne fait qu’empirer les choses.
Ce que j’ai découvert, bon gré mal gré, c’est que parler avec nos proches et nos amis vient justement nous apaiser. Sans rentrer dans les détails de la biologie du corps humain qui nous bombarde d’hormones du bonheur quand on entend une voix familière, parler avec des gens redonne un peu de perspective et d’air frais à notre esprit torturé.
Mais pour ça, il y a 3 choses auxquelles faire attention :
- Règle n°1 : Adressez-vous uniquement à des amis bienveillants ! Oubliez ceux qui vont vous dire que vous êtes chiant à vous apitoyer et que vous pourriez sourire à la vie.
- Règle n°2 : Ne mentez pas sur votre état d’esprit. Sans vous épancher, dites simplement que c’est difficile et que vous avez juste besoin de papoter. Cela ne peut qu’être bénéfique : vous lâchez un peu votre sac, vous ne vous culpabilisez pas et la personne qui vous écoute a aussi une chance de s’adapter et de vous épauler.
- Règle n°3 : Parler du problème, oui, mais pour trouver des solutions ! Si cela peut vous soulager, vous pouvez parler de ce qui vous tourmente, mais ça doit rester constructif. Le but n’est pas de confirmer que tout va mal et que vous avez raison d’être déprimé ! Cherchez des solutions, sinon parlez d’autres choses, joyeuses, bien sûr.
2. Continuer à prendre soin de soi
C’est un truc que j’ai remarqué quand je me mets à déprimer, je me lève plus tard, me douche plus tard, je repousse les jours où je me lave les cheveux, je dégaine le pilou pilou, je n’ai pas envie de cuisiner, de sortir... Il faut lutter contre ça, à tout prix.
JE DIS NON À LA NÉGLIGENCE VESTIMENTAIRE
Il est important, même quand le coeur n’y est pas, de continuer à choisir ses vêtements, se coiffer, se maquiller… Faites-vous belle / beau pour vous et pour garder une bonne estime de vous. 🙂
Je dis bienvenue à mon corps et à la beauté du monde
Ensuite quand on est déprimé, il faut imaginer que le corps se contracte avec l’esprit. Il devient tout rabougri, comme vos pensées dépressives.
Alors prenez le temps matin et soir de faire des étirements, mettez de la douceur et de la bienveillance, dites-vous Bonjour et Bonne nuit, félicitez-vous de le faire, même si ça vous semble stupide et inutile (puisque vous êtes déprimé).
Je fais tous les matins les exercices Radio Taiso pour me dégourdir :
Et tous les soirs, je fais des étirements de yoga, par exemple, la salutation au soleil
A noter : si vous ronchonnez en faisant ces exercices... alors continuez jusqu'à ce que votre esprit-déprimé-réfractaire cesse son cinéma ! 😀 Vous allez le voir, en faisant ces exercices plusieurs fois, vous allez finir par vous dérider.
Je mange du soleil
Le corps et l’esprit sont étroitement liés. C’est pareil pour alimentation. Si vous vous goinfrez de cochonneries toute la journée, sans plus aucune restriction, sous prétexte que vous n’avez pas le moral, d’une part vous n’aidez pas votre organisme en le privant d’une énergie précieuse, et vous ajoutez à votre déprime, la culpabilité de tout ce que vous avez avalé !
Le résultat d'une pause cuisine forcée, anti-déprime !
Cuisiner, c’est un moment où l’on est dans l’instant présent. Mettez une musique qui a la pêche, faites un plat avec des couleurs et observez les textures, etc. Mangez en pleine conscience, sentez la vitalité qui entre en vous.
3. CHANGER SA ROUTINE
Avec la déprime vient l’ennui. Quand je suis déprimée, soit je me laisse complètement aller, soit je me force à continuer à travailler comme si de rien n’était, alors que je n’arrive strictement à rien… Finalement, je me rabaisse plus qu’autre chose et ça ne fonctionne pas !
Si vous vous reconnaissez là, voici mon conseil : donnez-vous un peu d’espace. 🙂
Sans oublier les précédents conseils (prenez soin de vous, de votre corps, ne vous laissez pas complètement aller…), vous pouvez changer votre routine, vous octroyez le droit de ne pas faire ce qui vous contrarie.
Ça ne sert à rien de forcer les choses quand on sent qu’on n’y arrive pas, que ce soit le travail ou avec les enfants. Et quand on commence à s’agacer sur soi ou sur les autres, eh bien il est temps de faire autre chose. Il n’y a pas de mal à se lever un peu plus tard pour être ensuite plus dynamique, de décaler de deux heures le télétravail pour faire une sieste ou un peu d’exercice.
Se relaxer en observant les arbres au loin, les ombres sur les rideaux...
Par exemple, quand je suis vraiment déprimée et que je n’arrive plus du tout à travailler sur mes projets, même s’ils sont urgents, le matin je décide de ne pas travailler et je prends du temps pour lire, dessiner, cuisiner… Je prends soin de moi, et généralement l’après-midi, je me sens mieux et je peux reprendre mes activités comme d’habitude et faire le travail qui m’attend.
De manière générale et encore plus quand on est déprimé, pensez à respecter vos envies. 🙂
4. S’ENCOURAGER À RIRE
C’est tentant de nourrir notre petite déprime en mettant de la musique triste, en regardant des films qui nous font pleurer. C’est ce que je fais personnellement, peut-être vous aussi ? Mais ce n’est pas du tout la marche à suivre pour retrouver le moral ! ^^
Donc mon conseil dans la lutte anti-déprime, quand vous commencez à vous sentir un peu hagard, favorisez de la musique calme et douce, ou de la musique qui à la pêche.
De même pour les films, je vous recommande des comédies, des films drôles, voire un peu débiles. Certes ce n’est pas très intéressant, mais ça aura le mérite de vous faire sourire !
Et dans cette même dynamique lors ce que vous faites vos étirements anti-déprime que vous cuisinez, souriez ! Cela déclenche des flux d’hormones dans votre organisme qui ne peuvent que vous êtes bénéfique pour lutter contre la morosité. 🙂
J'ai l'air folle mais vous voyez l'idée ^^
5. Soyez bienveillant avec vous-même !
Pour finir, voici mon ultime conseil : c’est OK d’être déprimé, d’avoir des coups de mou. Mon premier réflexe quand j’allais mal, c’était de me dire « non et non, ça ne va pas recommencer, et puis c’est n’importe quoi il n’y a pas de raison de faire tout un fromage ».
Donc je n’écoutais pas mes envies, je me laissais sombrer et c’était de plus en plus dur de remonter la pente.
Quelles que soient les raisons, c’est normal d’avoir des baisses de régime (même si vos amis n’en ont apparamment pas), d’avoir besoin de temps pour soi.
Et pas besoin de tout « surmentaliser ». Moi la première, j’ai tendance à absolument vouloir comprendre « pourquoi. » Pourquoi ça va mal ? Qu’est-ce qu’il s’est passé ? De quoi j’ai peur ?
Parfois ça ne sert à rien et juste accepter, se poser, méditer, respirer, contempler la vie, être reconnaissant de ce que l’on a, suffit amplement.
Apprécier un coucher de soleil inattendu
S'inspirer d'autres histoireS
Vous l'aurez peut-être compris, je suis romancière. Mes romans sont un reflet de mon état d'esprit et mes personnages affrontent aussi les vagues de la vie ! A travers leurs histoires - comme je le fais dans cet article - j'essaie d'ouvrir des portes dans l'esprit des gens. Je ne prétends pas détenir de vérité et ce qui m'intéresse est l'Humain, beau même dans son impefection.
J'écris ainsi des parcours de vie où les personnages sont amenés à se surpasser, se réinventer pour aller de l'avant. Et ces personnages peuvent être une source d'inspiration à tous ceux qui en ont besoin.
Si vous êtes curieux, je vous invite à découvrir mon univers. Suivre les vagues pourrait notamment vous tenter pour ses touches de développement personnel et sa fraîcheur (l'océan dans les Landes, quoi de mieux pour respirer !).
Il y a aussi Débolis Héyavé, qui parle de savoir faire face aux regards des autres et trouver sa place dans la société (bien souvent, c'est une source de pression inconsciente qui nourit ces phases de déprime). Et enfin, pourquoi pas L'Espoir au corps, une belle romance autour de la résilience ou Le Coeur se souvient pour partir en road trip aux Etats-Unis !
Tous mes livres sont disponibles dédicacés sur ma boutique en ligne et au format numétique sur Amazon (certains sont aussi sur Kobo, iBooks Store, Google Book...)
Voici comment ne plus déprimer et mes 5 - 6 ! conseils anti-déprime, basés sur une histoire vraie ! N'hésitez pas à partager avec moi votre ressenti ou les choses qui vous aident à affronter les coups de mou en commentaire !
Prenez soin de vous, soyez bienveillant avec vous-même et avec les autres,
Anaïs
Bonjour Anaïs,
Mon moral joue au yo-yo depuis très très longtemps (c’est moralement très usant de se sentir très bien quelque temps et sombrer quelques jours après sans savoir trop pourquoi).
Votre article m’a beaucoup plu car méthodes simples du quotidien qui ne prennent pas de temps, pas de traitement médical,
En lisant les différents commentaires, on se rend compte que cela arrive à beaucoup de personnes … Je me sens moins seule !
Je lis car ça me permet de m’évader.
Comme Rachel, je faisais des créations… objets avec des palettes mais un de mes voisins s’est plaint du bruit.
Du coup ça fait bien un an que je ne crée plus et ça me manque énormément !
Je pense que je ne serai pas dans mon état actuel si j’avais pu continuer mes créations…
Vos commentaires me donnent envie de découvrir vos livres.
Merci beaucoup pour votre partage Anaïs !
Bien cordialement
Bonjour Corinne ! Merci de partager ton ressenti ici. En effet, tu n’es pas toute seule ! C’est important de le savoir et de ne pas avoir à cacher ce que tu vis.
Pour être honnête, j’ai fini avec le temps par comprendre que mes « flux émotionnels » étaient à la fois liés à mon histoire et mes souffrances passées, mais souvent amplifiés par les cycles féminins. D’où l’impression que ça revient sans cesse. J’ai cru un temps que je devenais bipolaire !
Quand c’est devenu trop dur, comme tu dis, avec l’usure émotionnelle, j’étais vraiment découragée. J’ai fini par demandé de l’aide à un psychiatre et il n’y a pas de honte à le dire, j’ai été aidé avec un traitement pendant un an : le but était juste de lisser mes émotions pour me laisser le temps de reprendre mon souffre et de reconstruire les bases de ma confiance en moi (ce n’est pas un éternel cycle infernal !).
Cela m’a énormément apporté et aujourd’hui, j’ai pu faire la paix avec plein de choses de mon passé et me sentant plus en sécurité. Je sais mieux aborder les moments « sans » car je sais qu’ils sont passagers : ce sont mes règles, un coup de mou… qu’importe. Sans se laisser aller, c’est un exercice – difficile mais possible – on peut juste accepter ces moments et se dire que le soleil n’a pas disparu, mais qu’il est juste derrière les nuages. On peut juste continuer à avancer, à faire sa vie, plus lentement certes et en se ménageant et en gardant confiance, le temps que cet état passe.
La créativité, c’est important en effet ! Tu sais que tu as le droit de bricoler tous les jours selon certaines heures, basta pour ton voisin. Au pire tu vois avec lui quand ca le dérange le moins, mais si c’est très important pour toi, tu ne devrais pas t’arrêter pour lui. 🙂 J’ai beaucoup évoluer aussi avec les exercices créatifs : je n’écris plus aujourd’hui, mais je jardine, je bricole, ça m’apprend plein de choses sur moi, à être plus indépendante en menant mes petites projets toutes seules et en voyant que j’y arrive. Ca me fait grandir. Donc je t’encourage fortement à trouver un moyen de continuer !
Merci encore pour cet échange et au plaisir,
Anaïs
Merci pour ce partage… On a beau le savoir ça fait du bien de le lire. Surtout quand c’est écrit avec une sincérité et une simplicité qui se sentent.
Merci beaucoup Laura, je suis très touchée !
Cela ne m aidera pas sa fait trop longtemps des années que je déprime merci
Bonjour Laurence ! Sortir d’un état dépressif peut demander du temps. Est-ce que tu t’es faite aider ou accompagner ? As-tu essayé de l’hypnose par exemple ?
Je suis deprime du a l’annonce d’une maladie que faire ?
Bonjour Sylvain, je suis navrée pour cette nouvelle que vous avez reçu.
Eh bien, appuyez-vous sur les petites astuces de l’article pour commencer, ça sera peut-être déjà beaucoup.
Ensuite, pour réduire le stress, vous aider à prendre du recul, il y a un très bonne application qui s’appelle Respirelax à télécharger sur votre téléphone pour faire de la cohérence cardiaque, 5 petites minutes 3 fois par jours. Ca a fait des miracles chez moi et aussi chez des proches qui étaient des stressés/deprimés chroniques.
Le plus difficile restera de vous y tenir, de ne pas laisser la déprime vous paralyser. Pour ça, il y a un mantra qui m’aide où le but n’est pas de se laisser le choix : « fais le et c’est tout ». Je ne me demande pas si c’est le moment, si j’en ai envie, si j’ai un truc qui peu potentiellement me retenir… je le fais. Je coupe mon esprit réfractaire et je fais ce que j’ai à faire. C’est très efficace pour s’imposer une routine, notamment de méditation ou respiration : juste couper le cerveau, s’asseoire et ce dire « c’est comme ça, pas autrement pendant 5 minutes ».
Essayez et vous me direz.
Courage en tout cas dans cette période, dites-vous qu’aussi longtemps durera l’orage, le soleil reviendra, gardez cet espoir.
Dans la mesure du possible ne restez pas seul. J’ai pas mal d’amies qui ont été dans votre cas. Celle qui s’est fait accompagner m’a dit : « C’est idiot. On me l’a dit depuis le début, et je ne le fais que maintenant. Mais ça fait vraiment du bien. »
Il a différentes formes de thérapie. Les plus connues sont la psychothérapie et les TCC (thérapie comportementale et cognitive). Il existe aussi l’art-thérapie, la musicothérapie…
Dans un premier temps, essayez de suivre les suggestions d’Anaïs.
Bon courage ! 🌞
Bonjour Laura, tu as tout a fait raison de le redire : il n’y a pas de honte à demander de l’aide. J’ai vu des psychologue, psychiatre… essayé l’équithérapie et ce qui m’a le plus aidé c’est l’hypnose.
Merci beaucoup
J ai lu ton article et ce qui m a beaucoup plu, au delà du contenu que je trouve top, c est ta photo avec le texte en dessous. Mdr!
🙂
Bonjour Cath ! Merci pour ton retour et heureuse que l’article t’ait plu 😀
merci Anaïs je vais lire à nouveau ces conseils utiles je ne suis pas aussi jeune que vous j’ai bientôt 75 ans ai connu de très nombreuses périodes difficiles et rien que de vous l’écrire cela me fait du bien.
j’espère continuer à vous écrire
merci Anaïs
Yves
Bonjour,
Je viens de lire votre article qui fait du bien.
Depuis peu je suis de nouveaux en dépression, de nouveau car j’en ai fait une il y a plus de 10 ans qui fut longue a soigné et très contrariante.
Mais depuis deux ans j’avais arrêté mon traitement et quelle fierté d’y être arriver.
Mais voilà depuis mercredi soir exactement je me suis senti mal, nausée, angoisse, …. et depuis je ne mange quasi plus, mon ventre me fait mal etc. Mais surtout mon moral est au plus bas, j’ai toujours envie de pleurer, et même des idées noires assez violente.
Cependant ton article me donner de l’espoir. Je vais suivre tes conseils 🙂
Bonjour Clément ! Merci de ce retour et de ce partage sincère. La vie nous donne toujours des défis à relever pour « valider » ce que nous avons appris dans le passé. Et comme j’aime le dire dans mon roman « Suivre les vagues », il y a toujours des hauts et des bas, c’est important d’accepter les deux (j’y travaille toujours). Cette période à vide est une nouvelle source d’apprentissage pour vous, sur le chemin de l’acceptation. Courage. Anaïs
Chère Anaïs, ce petit message juste pour te féliciter de la qualité de tes messages et de tes informations personnelles offertes à tes lecteurs ou abonnés. Chaque être peut être un soleil humain pour les autres si tant est qu’il le décide un peu et cela crée, qui plus est, en lui, une régénération salutaire ou bénéfique. Donc pourquoi s’en priver ? Mes meilleures pensées !
Merci infiniment Patrick de ce retour, c’est avec grand plaisir !
Bonjour Anaïs !
Merci beaucoup pour ces conseils avisés. J’en suis déjà 1 ou 2 et je vais m’empresser de suivre les autres.
Pour ma part, je lutte contre la déprime par la création, sous quelque forme que ce soit.
Je préfère quand il s’agit de l’écriture, comme ça mes projets avancent 😊
Mais ce n’est pas toujours le cas alors il a fallu que je trouve autre chose. Donc : je couds, je brode, je colorie (art thérapie) ou je peints des boîtes de bois brut.
Dans tous les cas, quand on prend du temps pour créer quelque chose de ses 10 doigts, je trouve ça très bon pour le moral. Et si, comme moi, on le fait surtout pour offrir, c’est encore meilleur ! Vous pouvez anticiper la joie de la personne à qui vous comptez l’offrir.
Voici, pour moi, une bonne façon de lutter contre la déprime 😉
Prends soin de toi aussi Anaïs et à bientôt !
Rachel
Bonjour Rachel ! Merci beaucoup pour ce partage ! Les activités manuelles sont en effet de très bonnes solutions anti-déprime, elles ont quelque chose de concret qui est très appréciable 🙂